Contexte
À l’occasion de son exposition « Les Magnifiques » organisée à la Cité des Sciences, la Fondation ARC a souhaité la prolonger en ligne en s’adressant spécifiquement à une cible jeune afin de les sensibiliser à la cause cancer.
Mais les nouvelles logiques d’engagement de ces publics plus jeunes que les donateurs classiques créent un décalage entre les univers de communication et récits à destination de ces derniers et les nouveaux publics à convaincre.
Comment positionner la Fondation ARC comme la grande marque caritative qui dialogue et (inter)agit avec les jeunes ?
Réponse de l’agence
Pour toucher cette cible jeunes, l’agence a souhaité construire un univers, un récit et des propositions d’actions qui leur parlent. Le manga est apparu comme l’univers le plus cohérent, tant les similitudes entre héros manga et héros de la recherche sont multiples.
Le principe de la campagne, 100 % digitale, a ainsi été de révéler, chaque semaine, la contribution de six véritables « héros de la recherche » à travers une série de portraits dessinés par le célèbre mangaka français Guillaume Lapeyre. La création, simple et impactante, renouvelle ainsi le registre créatif associé au secteur caritatif en utilisant les codes visuels de la Gen Z.
Diffusée sur les réseaux sociaux, la campagne s’est appuyée sur différents leviers d’activation : la mobilisation d’influenceurs, un partenariat rédactionnel avec Animeland, média spécialisé dans l’actualité manga, et un partenariat avec Brut afin de mieux faire connaître le métier de chercheur.
La campagne aura permis de constituer une nouvelle communauté parmi les moins de 35 ans, pour qui les grandes marques caritatives ne sont pas toujours familières, avec plus de 2,5 millions de personnes touchées par la campagne et plus d’1 million de vues de la vidéo Brut.