Difficile question qui, à la veille de l’université d’été d’EELV (du 21 au 23 août à Bordeaux), mérite que nous y revenions rapidement.
Lors de cette université d’été tout d’abord, il sera question de communication dans l’atelier : « Ya-t-il des mots frontistes et des mots écolos ? » dans lequel Laurent Terrisse intervient, ce jeudi 21 août à 14h30 (bâtiment vert – salle E1).
Mais, pour ceux qui ne peuvent pas attendre et/ou qui ne pourront pas être là, voici son interview réalisée par Annalivia Lacoste pour The Observatory for Responsible Innovation de l’école Mines Paris Tech sur le greenwashing et la communication responsable. À découvrir ici.
Quelles perspectives pour la communication responsable, donc ? Plutôt incertaines malheureusement, à l’heure où les grands patrons de la pub françaises font preuve d’un certain « révisionnisme » en matière de communication responsable, à en juger par l’affaire Smerep.
Une affaire qui est intervenue alors que de réelles avancées sur le sujet avaient été apportées par la norme Iso 26000 (à laquelle l’agence a activement participé, pour son application aux métiers de la com), ainsi que par les réflexions menées par la Commission Développement Durable de l’AACC.
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Et, pour aller plus loin :