A l’occasion des Journées d’été des écologistes (du 21 au 23 août à Bordeaux), Laurent Terrisse, Président de l’agence LIMITE est intervenu hier au cours de l’atelier : « Ya-t-il des mots frontistes et des mots écolos ? » aux côtés de Julien Longhi, maître de conférences à l’Université de Cergy-Pontoise, directeur du département Métiers du multimédia et de l’internet, Sophie Caillat, journaliste et auteur de « Comment j’ai sauvé la planète » et Damien Hensens, coordinateur de Génération Cobayes.
Salle comble de chez comble pour parler des mots #FN et des mots #EELV en salle E1 🙂 #JDE #EELV pic.twitter.com/imsoxePhKf
— Marine Tondelier (@thegreenizer) 21 Août 2014
« C‘est en tant que communicant spécialisé dans les sujets non profit (dont l’environnement), compagnon de route des Verts ayant quelquefois participé à des campagnes, des projets de communication, mais ni politologue, ni spécialiste de la com politique, fondateur de l’association pour une communication plus responsable (ex : Collectif des Publicitaires éco-socio-innovants avec aussi Inoxia, créateur de Darwin), » que Laurent Terrisse a été interrogé sur la question des mots FN versus les mots écolos.
Dans son analyse, Laurent Terrisse explique : « Comme pour le système sémantique frontiste, il faudrait que celui d’EELV traduise, comme le souhaite Sophie Caillat et comme elle y parvient dans son livre « Comment j’ai sauvé la planète », en termes simples un système programmatique qui fasse sens pour ses publics de conquête, sans faire fuir ses militants. Ce projet doit pouvoir s’exprimer en quelques mots, autour d’un même concept, se visualiser en un schéma, qui donne ensuite leur sens aux propositions ».
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