Bon et bah voilà, Noël c’est demain, et tout le monde sait que cette fin d’année va être cruciale pour les ressources des associations, ONG et fondations qui lèvent à cette occasion entre 40 et 70% de leurs fonds sur les dernières semaines de l’année, voir sur les derniers jours. Tout le monde travaille donc à peaufiner ou à réfléchir à des campagnes de collecte de fonds pour la fin de l’année, on cherche des idées, on pense que c’est d’Internet que va venir la lumière mais on compte ses sous et on en a pas beaucoup, d’où l’idée de faire de l’Internet car c’est considéré comme moins cher.
Souvent, en recevant des briefs « e-collecte », on a toujours tendance à recadrer les choses vers :
– l’importance centrale de trouver « l’idée » qui va déclencher l’intérêt et le passage à l’acte
– la nécessaire convergence des aspects communication et collecte pour déployer « l’idée »
– au plan de la collecte, la capitalisation évidente vers une approche multicanale
Mais il est rare qu’on ne nous ramène pas assez rapidement, après nous avoir dit qu’on avait raison et que ce qu’on dit est très intéressant, vers une stratégie purement webmarketing. Cela ne nous déstabilise pas plus que ça car Internet est notre matrice, notre source d’inspiration et nous pensons que l’épicentre des campagnes de communication et marketing se trouve là, et non plus à la TV.
Donc nous faisons appel à tout la palette qu’offre Internet et nous orchestrons des stratégies à 360° sur le online, mobilisant l’A/B testing, des segmentations fines avec des pages d’atterrissage, des dispositifs de constitution d’une base de prospects avec des chainage de transformation jusqu’au don, des pages « pourquoi donner » et « comment nous aider », des actions sur les médias sociaux, etc.
Mais franchement, il est tellement payant de connecter la com et le marketing, d’introduire modestement mais sûrement du multicanal dans les campagnes, d’innover en testant de nouveaux messages, de nouveaux formats ou encore en allant chercher de nouvelles audiences qu’on ne peut que vous inviter à le faire et à nous consulter pour ça.
Il est encore temps. Il est toujours temps.
Et on vous invite à penser dès aujourd’hui à vos voeux 2012 !