1) Ils ont besoin de booster leurs collectes de fonds en obtenant le maximum de visibilité et d’adhésion à leur « marque associative », afin qu’elle s’impose, face à ses concurrentes au sein de la même cause, ou parmi les nombreuses causes qui communiquent de plus en plus agressivement.
C’est pourquoi nous les aidons à faire « tilt » :
– à mettre en place des campagnes pub impactantes et ciblées, avec les meilleurs créatifs pub de la place de Paris, chez nous ou avec des grandes agences amies (c’est le principe du « Limite Inside »), le tout dans des budgets de quelques milliers ou dizaines de milliers d’euros et avec une vraie visibilité grâce à de vraies stratégies médias qui permettent d’optimiser 5 à 7 fois le budget disponible.
– à monter, pour quelques dizaines de milliers d’euros grâce à l’aide des meilleurs scénographes de rue tels que Yvan Hinnemann et de réseaux militants activistes amis, des « happenings » sur la voie publique ou dans de lieux scénarisés, leur permettant d’accéder aux grands médias par des images frappantes et, au moyen de vidéos de making-of de ces actions, de créer le buzz autour de leurs appels.
– à orchestrer des campagnes multimédia de soutien aux collectes de fin d’année sur la base de gros dispositifs de partenariats + rp on et off-line garantissant à leur cause une « masse critique médiatique » qui les impose dans l’esprit d’un grand nombre de donateurs et prescripteurs au moment où les mailings arriveront dans leurs boites à lettre, en créant un rendez-vous annuel dans le paysage caritatif français.
=> équipes créatives autour de Laurent Terrisse, studio autour de France Tertrain, relations presse autour d’Elysabeth Ebel (Yeswecan), événementiel autour de Yvan Hinnemann ou de Stéphane Abitbol (S’cape)
2) Ils ont besoin de ne pas rater le rendez-vous d‘internet et de s’y faire leur place et leur culture, dans un contexte de frilosité en matière d’investissement et d’innovation.
C’est pourquoi nous les aidons à passer à la vitesse Internet, et donc :
– à cartographier leurs univers sur Internet pour être au courant de ce qui se dit d’eux, des mouvements d’opinion et des signaux faibles, mais surtout à aller chercher leurs publics là où ils sont (un site Internet, c’est le minimum mais il ne sert à rien sans trafic qualifié et sans conversions des visiteurs)
– à élaborer, pour quelques centaines ou milliers d’euros par mois selon l’ampleur des besoins, de vraies stratégies on-line globales et 360°, en croisant des capacités à travailler avec des développeurs et des « geeks », une vraie culture internet « native » et une expérience stratégique et créative d’agence de communication capable de traduire la convergence du marketing, de l’image et de l’information en dynamiques de campagne.
– à monter, pour quelques milliers ou dizaines de milliers d’euros de pures campagnes web pour faire du buzz et déclencher des médiatisations ou des interpellations de cibles décideurs à partir d’internet.
– à créer, tester et développer, par prises de risques progressives en ajoutant « en temps réel » de l’argent uniquement là où « ça marche », des dispositifs de collecte en ligne fondés sur ce qui marche vraiment : négociation de gracieux en display, opérations viral et rp 2.0, orchestration de montées en puissance sur le web en miroir des campagnes off-line, politiques d’achat de mots clés (Google Grants et Adwords) et dispositifs de co-registration pour collecter des adresses optin, campagnes d’emailing ciblées, conception de sites aspirateurs de dons, couplages intelligents entre papier-téléphone-web, webmastering et community management, fidélisation on-line incluant des programmes relationnels basés sur des modules vidéos ou interactifs, RP blogueurs qui capitalisent sur de vraies rencontres off-line.
=> réseau Trilogicom autour de Frédéric Bardeau
3) Ils ont besoin de trouver de nouvelles pistes de développement des ressources sans prendre trop de risques.
C’est pourquoi nous les aidons :
– à screener et identifier, pour quelques milliers d’euros, grâce au cabinet de lobbying pour les ONG d’Edouard Meier installé depuis 6 ans à Bruxelles, toutes les lignes budgétaires de la Commission européenne pouvant les financer et à monter, en incentive, des dossiers de financement de campagnes de communication auprès des organismes communautaires.
– à mettre en place leur catalogue de services aux grands donateurs et leur stratégie de fiducie non profit (legs, patrimoine, ISF, donations temporaires d’usufruit, fonds de dotation, …), puis des dispositifs de campagnes « BtoB » vers les philanthropes, les mécènes et leurs prescripteurs (services spécialisés des banques, cabinets conseil, avocats, notaires, entreprises mécènes, …) leur permettant de faire identifier leur « marque grands dons » comme la plus sure, en terme de projets et de services.
=> équipe de consultants autour de Laurent Terrisse