Le comble du « story-telling » serait-il d’écrire des histoires ?
C’est ce que notre ami Serge Bizouerne, Président de DomPlus, vient de faire en signant, avec Luc Matray (économiste, ancien Président du Crédit Municipal), le livre « Priorité à la Personne » (reprise de la signature de DomPlus que Non Profit lui avait trouvée en 2003) chez Gallimard.
Chez LIMITE, DomPlus est un modèle d’entreprise que nous a fortement inspiré : SAS à mission sociétale dotée d’un Comité d’éthique, elle œuvre pour de grands client mutualistes, publics ou marchands à la frontière entre les logiques relationnelles et de business, l’humain et la technologie, les solutions immédiates et les relations durables. Depuis sa création, elle a constamment innové en matière de prise en compte et en charge des subjectivités des clients de ses clients dans des moments clés de leur existence en tant que « compte client ». La manière dont se passe ce moment où c’est la « personne » et non plus le « consommateur » ou le «citoyen » qui fait appel à l’entreprise, est structurante de l’ensemble de la relation, parfois, dans le cas de ma banque, de ma mutuelle ou de mon employeur, de toute une vie.
D’où le sous-titre « A la recherche d’un business modèle pour le secteur quintenaire ».
Seulement, c’est compliqué, c’est subtil à expliquer.
Alors comment accompagner en communication la croissance régulière d’une telle entreprise ?
En faisant vivre son aventure dans un livre qui, à partir de ses avancées concrètes, ouvre le débat sur ce nouveau champ conceptualisé en « secteur quintenaire » de l’économie de la subjectivité. Une économie dont, chez Limite où nous nous consacrons aux aujets qui touchent profondément les personnes et aidons nos clients à développer des relations riches avec les donateurs ou militants de leur marque, nous avions l’intuition avant même qu’elle ne s’exprime dans cet ouvrage.
Deux ans de travail, un comité d’experts autour de DomPlus, un projet fédérateur pour tous ses clients et collaborateurs et une sortie qui crée l’événement et le buzz pour que ses prospects, partenaires et parties prenantes comprennent mieux ce qu’elle fait et comment elle arrive à créer de la valeur économique à partir de la valeur humaine.
Une communication holistique fondée sur la sincérité que nous aimons bien et qui prouve que l’idée publicitaire, quand elle parvient à nous marquer d’une empreinte intelligente et utile, peut se traduire dans « la forme que revêt son contenu ».