John Wanamaker, un gros boutiquier de Philadelphie qui prospérait dans les années 1800, a prononcé cette phrase désormais célèbre, mais malheureusement trop peu rappelée par les communicants : « La moitié du budget que je dépense en publicité ne sert à rien, mais le problème c’est que je ne sais pas quelle moitié ! »
Sur le Web, on sait précisément quelle partie des investissements il faut arrêter car la publicité est payée à la performance, sur la base de données comportementales, les paramètres principaux des campagnes sont gérables et adaptables en temps réel… Sur Internet, acheter des mots clés sur le réseau de recherche et le réseau de contenu est un basique incontournable, un préalable à toute autre action qu’elle relève du marketing ou de la communication.
En revanche s’il y a bien 50% à retrancher d’un investissement web, quand on ne fait pas de RP digitales ou de bannières et de l’achat de mots clés au CPC, c’est bien celui des actions au CPM (bannières), les coûts de licence ou de maintenance liés à des outils qui ne sont pas opensource aussi, ou encore des mini-sites inutiles car non liés à une stratégie de transformation, ou enfin les agences et autres web agency qui font payer à certains, avec l’argent de la générosité, ce qui est pourtant et objectivement gratuit pour tout le monde, ou en tous cas pas cher…
Si on avait une vraie stratégie web et si appliquait la règles des 50% aux budgets web ? Et en même temps, on augmente la performance ?
Chiche !
L’ensemble de votre blog est vraiment bon ! Cet article m’a montré énormément d’idées sur le monde de la location auto et par la même occasion parmi la profession de loueurs.